Si tu lis cet article, c’est sûrement grâce à mon post LinkedIn 😅.
Je te rassure tout de suite : je ne suis pas là pour te vendre une formation à 997 €, ni un abonnement miracle.
Mon but, c’est simplement de te montrer comment j’ai monté un système qui crée un blog entier tout seul.
Et quand je dis tout seul, c’est vraiment tout seul :
L’IA choisit les sujets.
Une autre IA rédige les articles complets.
Une autre génère les images.
Airtable garde tout organisé comme un vrai back-office.
Et n8n orchestre l’ensemble pour publier automatiquement sur ton site.
👉 Résultat : tu peux lancer 100 articles SEO en moins de 5 minutes.
Et après, ça tourne quasiment en pilote automatique.
Ressources (prêtes à l’emploi) :
Créer un blog automatisé sans perdre de temps
Pendant longtemps, créer un blog SEO consistait à répéter toujours les mêmes étapes chronophages : trouver des mots-clés, rédiger du contenu, créer des images, optimiser les métadonnées, mettre en ligne. C’était lent, coûteux et rarement optimisé de bout en bout. Résultat : la plupart des entreprises publient deux ou trois articles par mois, et se demandent ensuite pourquoi elles n’ont pas de trafic organique.
Mais aujourd’hui, grâce à l’automatisation et à l’intelligence artificielle, il est possible de changer complètement la donne. Il est désormais envisageable de créer un blog automatisé entier, avec cent articles complets, optimisés et illustrés, en seulement quelques minutes.
Pourquoi miser sur un blog automatisé
Cet article ne va pas seulement détailler la partie technique. L’idée est aussi de comprendre la logique derrière. Concrètement, on va voir comment mettre en place un système qui va :
Identifier des mots-clés pertinents grâce à Serpstat.
Transformer ces mots-clés en titres d’articles accrocheurs avec OpenAI.
Stocker automatiquement ces idées dans une base Airtable.
Utiliser Anthropic (Claude) pour rédiger des articles complets à partir de ces titres.
Générer des images pertinentes avec DALL·E.
Centraliser tout dans une seule table Airtable.
Publier le tout automatiquement sur un site WordPress ou Framer.
Le tout repose sur deux workflows construits dans n8n, un outil d’automatisation puissant et open source :
Le premier workflow sert à générer les idées (Titre + MotClé).
Le second workflow transforme chaque idée en article complet et prêt à publier.
L’objectif est clair : permettre à n’importe qui de mettre en place une machine à contenu SEO, sans jamais avoir besoin de rédiger manuellement.
Les outils indispensables pour un blog automatisé
Avant d’entrer dans le détail des workflows, voici la liste des outils qui composent l’écosystème et leur rôle précis :
Serpstat : outil SEO pour récupérer des mots-clés, leur volume et leur difficulté.
OpenAI (GPT) : utilisé pour transformer les mots-clés en titres clairs et optimisés.
Airtable : base de données centrale, qui sert de back-office éditorial. Une seule table contient l’intégralité des informations : titres, mots-clés, slugs, métas, contenu, images.
Anthropic (Claude) : rédacteur IA qui produit des articles complets de 2 500 à 3 500 mots.
DALL·E (OpenAI) : générateur d’images pour illustrer chaque article.
n8n : plateforme d’automatisation qui orchestre l’ensemble des opérations.
WordPress ou Framer : CMS où les articles finaux sont publiés automatiquement.
La philosophie derrière un blog automatisé
Au lieu de multiplier les outils et les bases de données, l’idée est de tout centraliser dans une seule table Airtable. Cette approche simplifie énormément la gestion et rend le suivi très visuel.
Chaque ligne de la table Airtable représente un article. Les colonnes se remplissent progressivement, au fur et à mesure que le workflow avance :
Étape 1 : Titre et MotClé.
Étape 2 : Slug et MetaDescription.
Étape 3 : Contenu complet (Intro, Sections, FAQ, Conclusion).
Étape 4 : Image et Alt Text.
Cette méthode évite toute complexité inutile. On n’a pas besoin de croiser plusieurs tables ni de jongler entre différents fichiers. Tout est regroupé en un seul endroit.
Workflow 1 : Générer les idées d’articles

Le premier workflow, c’est la base. Tu peux le voir comme la fondation de ta maison : sans ça, rien ne tient. Ici, le but est simple : créer ton plan éditorial. En gros, tu vas fabriquer une liste d’idées d’articles, chacune avec un mot-clé et un titre accrocheur.
Ça ne va pas encore écrire les articles, ni générer des images. Non, cette première étape sert uniquement à remplir Airtable avec des idées propres. Une fois que tu as ça, tu pourras lancer la machine pour rédiger.
Étape 1 : Comprendre ce qu’est un seed keyword
Un seed keyword, c’est tout simplement ton mot-clé de départ. C’est comme une graine que tu plantes. Par exemple, si tu écris sur l’automatisation, tu peux prendre comme graine “automatisation entreprise”.
À partir de ce mot-clé, on va demander à Serpstat de générer une liste de variations. Ça peut donner :
“agence automatisation”
“outils automatisation marketing”
“automatiser facturation”
Chaque mot-clé représente une idée d’article potentielle.
Étape 2 : Créer un nœud Set dans n8n

Dans ton workflow n8n, tu commences par ajouter un nœud Set. Pourquoi ? Parce que ce nœud sert à définir des variables de départ.
Ici, on va définir :
seed_keyword
= “automatisation entreprise”
Tu pourrais changer la valeur pour tester d’autres niches. Par exemple :
seed_keyword
= “logiciel CRM”seed_keyword
= “marketing automation”
Ça permet de rendre ton workflow flexible : tu modifies juste une valeur, et tu repars avec 100 nouvelles idées.
Étape 3 : Appeler l’API de Serpstat avec un HTTP Request

Maintenant, on va utiliser un nœud HTTP Request. C’est le nœud qui permet de communiquer avec une API externe.
Tu le configures comme ça :
Method : POST
URL :
https://api.serpstat.com/v4/
Headers : ajoute
Content-Type: application/json
Body Parameters (RAW JSON) :
Explication des paramètres :
token
: c’est ta clé API Serpstat. Tu la trouves dans ton compte.query
: c’est ton seed keyword défini juste avant.se
: moteur de recherche ciblé, icig_fr
pour Google France.page_size
: le nombre de résultats à récupérer. Ici 100, mais tu peux demander plus si tu veux.
Étape 4 : Lire la réponse de Serpstat
Quand tu exécutes ce nœud, Serpstat te renvoie une réponse JSON.
Exemple simplifié :
Tu as donc une liste avec trois infos importantes :
le mot-clé,
le volume de recherche (combien de fois ce mot est tapé par mois),
la difficulté (plus c’est haut, plus c’est dur à ranker).
Étape 5 : Nettoyer la réponse avec un Function
La réponse contient souvent trop d’informations. Pour rendre ça plus clair, on va utiliser un nœud Function dans n8n.
Code :
Résultat : tu obtiens une liste propre avec seulement trois champs.
Étape 6 : Générer des titres avec OpenAI
Maintenant qu’on a des mots-clés, on veut les transformer en titres d’articles. Parce qu’un mot-clé seul, ce n’est pas un article.
On ajoute un nœud OpenAI.
Prompt utilisé :
Exemple de sortie :
Étape 7 : Stocker dans Airtable
Une fois le titre généré, on veut le stocker quelque part. Ici, on a choisi Airtable comme back-office.
On ajoute un nœud Airtable → Create Record.
Mapping :
Titre article
→{{$json.Titre}}
MotCle
→{{$json.MotCle}}
Statut
→ “idée”
À ce stade, tu as rempli Airtable avec une centaine de lignes. Chaque ligne contient :
un mot-clé,
un titre,
un statut.
Tu as maintenant ton plan éditorial.


Bloqué dans cette étape ?
N’hésitez pas à me contacter, je vous aiderai avec plaisir.
Workflow 2 : Transformer les idées en articles complets
Le premier workflow t’a permis de remplir ta base Airtable avec des idées d’articles. Pour rappel : chaque ligne contient déjà un mot-clé et un titre. Mais pour l’instant, ça reste un squelette. Ce n’est pas encore du vrai contenu que Google peut indexer.
C’est là qu’intervient le deuxième workflow. C’est lui le cœur du système. Son rôle est de prendre une idée brute et d’en faire un article complet, prêt à être publié : avec un texte long, une structure SEO, une image, une meta description, et tout ce qu’il faut pour ranker.
Étape 1 : Lire les idées depuis Airtable

Avant d’écrire quoi que ce soit, il faut dire au workflow : “va chercher une idée qui n’a pas encore été traitée”.
C’est le rôle du nœud Airtable → Read Records.
Quand tu configures ce nœud, tu précises :
Base : ton Airtable (par ex. “Blog Automatisé”).
Table : la table où sont stockées toutes les idées.
Filter : uniquement les enregistrements où
Statut = idée
.Limit : tu peux dire “1” pour traiter une idée à la fois.
Exemple concret : imaginons que ta table contient 100 lignes. 80 sont déjà passées en “prêt à publier” et 20 sont encore en “idée”. Le nœud va récupérer uniquement les 20 restantes. Puis le workflow traitera une ligne après l’autre.
👉 Cette logique est super importante. Si tu oublies le filtre, tu risques de réécrire 100 fois les mêmes articles.
En pratique, chaque ligne extraite par ce nœud contient donc au minimum :
un
Titre
,un
MotCle
,et le
Statut = idée
.
Étape 2 : Rédiger avec Claude

Une fois que ton workflow a récupéré une ligne d’Airtable (un titre + un mot-clé), il faut passer à la rédaction. C’est ici qu’intervient Claude, l’IA d’Anthropic. Et bonne nouvelle : dans n8n, il existe déjà un nœud Anthropic prêt à l’emploi. Pas besoin de configurer un HTTP Request compliqué.
1. Ajouter le nœud Anthropic dans n8n
Clique sur le petit “+” pour ajouter un nouveau nœud.
Cherche “Anthropic” dans la liste.
Choisis le nœud Messages (c’est celui qui sert à générer du texte avec un prompt).
Ce nœud est déjà relié à ton compte Anthropic (il faudra entrer ton API Key dans les “Credentials” la première fois).
2. Configurer le modèle
Dans les options du nœud, tu peux choisir :
Model : claude-opus-4-1-20250805 (le plus puissant) ou
claude-3-sonnet
si tu veux quelque chose de plus rapide.Max tokens : mets 4000 ou 8000 selon la longueur d’article que tu vises. (Un article de 3000 mots peut représenter environ 3500 tokens).
3. Écrire le prompt
C’est le cœur de la configuration. Ton prompt doit être précis mais pas trop rigide. Voici un exemple optimisé :
4. Exemple de sortie générée par le nœud
Quand tu exécutes ce nœud, Claude renvoie un JSON comme celui-ci :
Pourquoi ce prompt est important
On demande explicitement les champs nécessaires : slug, meta title, meta description, intro, sections, FAQ, conclusion.
On précise la taille des metas (sinon, il fait trop long).
On demande du HTML simple (
<h2>
,<p>
, etc.), pour pouvoir publier directement.On intègre déjà les liens internes. C’est une astuce clé pour améliorer ton maillage interne.
Exemple : si l’article parle des avantages d’une agence d’automatisation, Claude va naturellement placer une phrase du type :
“Si vous voulez creuser davantage, vous pouvez lire notre guide sur les avantages d’une agence d’automatisation.”
Pareil pour la définition, l’utilité ou les inconvénients d’une agence. On tisse un réseau interne entre les articles, ce qui est excellent pour le SEO.
Exemple de réponse
Claude va répondre avec un JSON structuré. Exemple simplifié :
Avec ce JSON, tu as déjà un article de 2500–3500 mots, formaté et prêt à être inséré dans ton CMS.
Étape 3 : Générer une image avec DALL·E
Un bon article doit aussi avoir un visuel. Sinon, ça donne une impression incomplète.
On ajoute donc un nœud OpenAI Image dans n8n.
Configuration du nœud
Prompt :
Size : 1200x630
n : 1 (une seule image par article suffit)
Ce prompt génère une illustration générique mais élégante, adaptée au thème.
Générer le Alt Text
Une image seule ne suffit pas. Pour le SEO et l’accessibilité, il faut un alt text.
On ajoute donc un petit nœud Claude avec ce prompt :
Exemple de sortie :
“Illustration moderne représentant des outils d’automatisation marketing.”
“Visuel simple sur le thème de l’automatisation des entreprises.”
Étape 4 : Mettre à jour Airtable
Maintenant qu’on a tout (texte + image + alt text), il faut les ranger dans Airtable.
On utilise un nœud Airtable → Update Record.
On mappe chaque champ du JSON dans la bonne colonne :
Slug
→ champ SlugMetaTitle
→ champ MetaTitleMetaDescription
→ champ MetaDescriptionIntro
→ champ IntroSections
→ champ SectionsFAQ
→ champ FAQConclusion
→ champ ConclusionImage
→ champ ImageURLAltText
→ champ AltTextStatut
→ “prêt à publier”
Résultat : la ligne Airtable est maintenant complète.
Étape 5 : Résultat final
À ce stade, chaque ligne d’Airtable qui n’était au départ qu’une idée devient un article entier avec :
un texte SEO de plusieurs milliers de mots,
un slug optimisé,
une meta title et description prêtes pour Google,
une intro qui accroche,
plusieurs sections structurées (H2/H3),
une FAQ pratique,
une conclusion,
une image générée automatiquement,
un alt text pour le SEO,
et un statut qui indique qu’il est prêt à être publié.
Tu as donc réussi à passer d’une table vide à un vrai blog automatisé.
👉 Pour aller plus loin, si tu veux comprendre en détail le rôle des agences dans ce type de projet, je te conseille ces ressources complémentaires :
Ces articles s’intègrent parfaitement dans la logique de ton blog automatisé : ils peuvent servir de liens internes entre tes contenus, ce qui renforce encore ton SEO.
Étape 8 : Publier automatiquement sur WordPress ou Framer

À ce stade, ton Airtable est rempli d’articles complets : chaque ligne a un titre, un mot-clé, une intro, plusieurs sections HTML, une FAQ, une conclusion, une image et son alt text.
C’est génial, mais tant que ça reste dans Airtable, personne ne peut le lire. L’étape finale, c’est donc de publier ton contenu automatiquement dans ton CMS (Content Management System), que ce soit WordPress ou Framer.
Pourquoi automatiser la publication ?
Tu pourrais copier-coller à la main depuis Airtable vers ton CMS. Mais si tu as 100 articles, c’est une perte de temps monumentale.
Avec n8n, tu peux appuyer sur un bouton et voir 100 articles publiés d’un coup.
C’est un vrai gain de temps, et surtout ça évite les erreurs humaines (oublier un champ, casser un lien, mal uploader une image…).
Publier sur WordPress avec l’API REST
WordPress est encore aujourd’hui le CMS le plus utilisé dans le monde. Bonne nouvelle : il propose une API REST officielle.
En clair, tu peux “parler” à ton site WordPress depuis n8n en envoyant une requête HTTP.
Étape 8.1 : Préparer WordPress
Activer l’API REST : elle est activée par défaut dans WordPress (pas besoin d’installer quoi que ce soit si tu as une version récente).
Créer un compte avec droits d’éditeur ou administrateur.
Installer un plugin d’authentification JWT ou Basic Auth (par ex. “Application Passwords” est très simple et intégré depuis WP 5.6).
Ton but est d’obtenir une combinaison user:password
ou un token qui te permettra de publier via API.
Étape 8.2 : Configurer le nœud HTTP Request dans n8n
Ajoute un nœud HTTP Request avec ces paramètres :
Method : POST
URL :
https://tonsite.com/wp-json/wp/v2/posts
Authentication : Basic Auth (ou Bearer si tu utilises un token JWT).
Username : ton utilisateur WordPress.
Password : ton mot de passe ou ton token.
Body (JSON) :
Explications :
title
→ le titre de l’article.slug
→ l’URL optimisée (générée par Claude).status
→ “publish” pour publier directement, “draft” si tu veux relire avant.content
→ le contenu complet (intro + sections + FAQ + conclusion).excerpt
→ l’extrait ou meta description.
Étape 8.3 : Ajouter l’image à WordPress
Tu veux aussi publier l’image générée par DALL·E. Ça se fait en deux temps :
Uploader l’image avec un appel à
/wp-json/wp/v2/media
.
Exemple de requête :(Tu peux d’abord télécharger l’image depuis l’URL générée par DALL·E avec un nœud HTTP → Binary, puis l’envoyer à WP).
Associer l’image à l’article en passant son
id
commefeatured_media
dans la création du post.
Résultat : ton article WordPress a directement sa photo de couverture.
Publier sur Framer via Airtable CMS Sync
Framer, contrairement à WordPress, ne fonctionne pas avec une API REST classique pour les articles. Il a une logique différente : tu relies directement Airtable comme source de données à ton CMS Framer.
Étape 8.1 : Relier Airtable à Framer
Dans Framer, crée une Collection CMS (par ex. “Articles”).
Active la synchronisation avec Airtable.
Choisis ta base et ta table (celle où tu stockes tes articles).
Mappe les champs :
Titre
→ Titre articleSlug
→ SlugMetaTitle
→ Meta TitleMetaDescription
→ Meta DescriptionIntro + Sections + Conclusion
→ ContenuImage
→ Image URLAltText
→ Texte alternatif
À chaque fois que ton Airtable est mis à jour par n8n, Framer synchronise la collection CMS automatiquement.
Étape 8.2 : Lancer une sync manuelle ou auto
Tu peux choisir :
Sync manuelle : tu cliques sur “Sync” dans Framer.
Sync auto : Framer met à jour régulièrement dès qu’il détecte un changement dans Airtable.
Dans les faits, dès que ton workflow n8n met à jour Airtable avec un article complet, il apparaît quelques minutes plus tard sur ton site Framer.
Mettre son blog automatisé en route
Avec ces deux workflows, tu as maintenant entre les mains un système complet :
tu commences par générer une centaine d’idées propres avec Serpstat et OpenAI,
tu les ranges dans Airtable comme dans un tableau de bord éditorial,
puis tu laisses Claude et DALL·E enrichir chaque ligne pour en faire un article long, structuré et illustré,
enfin, n8n se charge de publier automatiquement tout ça sur WordPress ou Framer.
Le résultat, c’est un blog qui s’écrit et se met en ligne tout seul, sans copier-coller, sans tâches répétitives. Tu passes d’un simple mot-clé à 100 articles publiés en quelques minutes.
Tu peux ensuite affiner la stratégie :
lancer de nouveaux workflows sur d’autres niches,
ajouter des champs supplémentaires dans Airtable (par exemple le maillage interne),
ou encore connecter Google Search Console pour suivre les performances.
Bref, tu ne passes plus tes journées à créer du contenu à la main : tu as construit une machine qui le fait pour toi.